Pascal Gicquel a commencé la sculpture en 1990 en cours du soir à Paris où il a travaillé essentiellement les corps d’après modèles vivants. Puis, peu à peu, il s’est libéré de la recherche académique de ses débuts pour suivre de nouvelles gestuelles. Modeler la terre aujourd’hui, c’est improviser des postures en s’inspirant de la danse pour la beauté, la légèreté et les tensions aussi.

Le corps peut alors réaliser toutes sortes de mouvements ; se tourner, se courber, s’étirer dans un effort intense ou par pure rêverie. Il invente des mouvements, les combine en fonction de la dynamique du moment.

C’est ainsi qu’il met en scène sa propre recherche de l’esthétisme, du beau.